Ce texte est un sténogramme de la maladie de la mort, une maladie qu'apparemment rien ne pouvait arrêter. Il témoigne de toute la force de son auteur, qu'elle soit dramatique ou poétique. Il témoigne d'un désespoir abyssal mais l'auteur nous en parle avec une telle véracité et , un même temps avec une telle pureté que le texte s'apparente une prière.