Par les villages est l'épopée du quotidien. Un chantier, des ouvrier, un village, la vie de chaque jour deviennent la matière d'une vite autre, à laquelle on ne prêtait jusque-là pas attention. C'est cela que raconte le poème dramatique. L'un des frères parti pour la ville, devenu écrivain, est exclu de l'héritage par les autres. À son retour le village est métamorphosé par la vie moderne. Pancartes et panneaux indicateurs ont tout envahi. Pourtant tout bascule déjà dans une ère nouvelle, celle de Nova qui ne proclame aucune vérité nouvelle…

Gregor a quitté son village natal pour s’installer en ville où il mène sa vie d’écrivain loin de sa famille. Mais quand son frère, ouvrier du bâtiment, et sa sœur, vendeuse dans un magasin, lui demandent de céder sa part d’héritage sur la maison pour que cette dernière puisse ouvrir un commerce, il y revient pour découvrir une campagne métamorphosée par la vie moderne, et se retrouve confronté au passé de leur enfance commune et à l’avenir qui cristallise leurs divergences.

Un homme sur un bac, au milieu d'un verger paisible entouré des montagnes de Caninthie, convoque ses ancêtres qui surgissent du passé. Ses grands-parents, sa mère et ses frères et sœurs, dont trois mourront à cause de la guerre, racontent l'histoire de leur famille et celle de cette province autrichienne à majorité slovène et dépossédée de sa langue et de sa culture.

L'action se déroule sur une route départementale. "le dernier chemin encore livre sur la terre, le dernier non étatisé, non socialisé, non cartographié, non botanisé endrtoit de la planète".

C'est là que coexiste le moi époique et le moi dramatique. Tous deux vont renconter les "occupants", arrivant seuls ou à plusieurs et formant la trribu des innocents, ainsi que leur chef, sa femme,e t enfin l'inconnue, "l'espéré, la désirée sspuis longtemps."