Shorty rêvait d'être comédien... et il fut boxeur. Et quel boxeur. Sans doute le plus grand de tous les temps. On dit que, sur le ring, son jeu de jambes était aussi sensuel que la voix de Billie Holiday ; son jab aussi troublant que le piano de Monk. On dit aussi que ses poings étaient aussi virulents que la trompette de Dizzy Gillespie. Shorty n'était pas un boxeur ; c'était le boxeur... et certains affirmaient sous cape que pour boxer aussi bien, il avait dû vendre son âme au diable ou à quelqu'un d'autre. Mais on raconte tant de choses...
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