Je vous la refuse ma sueur ma peine abondante dont vous faîtes princes beau profit comme on fit naguère abat-jour de peaux de Juifs je pars je vous laisse seuls bouffer le fer de vos canons jouer aux osselets avec les crânes des enfants de Racak et de Bagdad je vous laisse à vos jeux minutieux de mikado tuer un peuple d'hommes et un et un encore sans que rien ne bouge retenez longtemps votre souffle j'ai les seins vides comme l'avenir je pars.
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