"Nos événements" se passeront dans une sorte de champ d'épandage, dans un champ clos (le plateau) semé de toutes les déjections d'une société qui endette ses plus pauvres pour les pouvoir mieux rejeter ensuite, toute endettement bu, dans le ténèbres extérieurs de la Consommation. Et on y trouvera de tout : une table de formica, le bureau d'un ministre, la ronéo révolutionnaire, les Jeux Olympiques, un portail d'usine en grève, la dislocation de la Famille, etc... Dans ce théâtre/essayant/de/se/survivre/tant/bien/que/ mal, ou tout, comme dans nos vies se mélange, s'épie ; dans ce drame incertain ; dans cette comédie des apparences qui tente de ne jamais choisir entre le "De nos jours", le "Il était une fois" et le "il y a vingt ans".? Parce qu'on le ne peut parler de tout, mais que l'on peut tenter de faire théâtre de ce que l'on peut tenter de faire théâtre de ce qui , à priori, ne se raconte pas d'intime et de cruel, de public et de drôle sur ici et sur Hier. D'un soir de Mai 1968". (Didier-Georges Babily, 1988)
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