Ce soliloque a été écrit un beau jour d'été 2005, dans son jardin gascon de Gaudonville. Il faisait chaud et lumineux ; il s'est lancé le défi d'écrire une seule phrase, alambiquée, labyrinthique, dans une écriture quasi automatique inspirée par les dérives de sa pensée, comme en roue livre, laissant remonter souvenirs et interrogations... Il s'avoue étonné de l'intérêt les premiers lecteurs ont manifesté pour cette longue logorrhée d'un genre littéraire incertain.