Electre
Et le mal, a-t-il une mesure ? Serait-il beau, dites-moi de négliger les morts ? Est-il des humains en qui l'idée a pu germer ? Ceux-là , je ne veux pas de leur estime, et si je garde en moi le sens du bien, je ne veux pas vivre après d'eux tranquille, au prix de l'affront que serait pour mon Père de retenir l'envol de es plaintes aux accents déchirants. Oui, si le malheureux mort devait n'être plus là que poussière et néant, sans que les autres le paient en retour d'un juste châtiment, c'en serait fait à jamais pour les mortels de tout respect et de tout piété.
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