Le voyage de Kong dans la vie à la mort en passant par la femme et les hommes, par les baobabs et les buildings. Kong sur l'île du Crâne et dans New York, avec tyrannosaure et melencholia qui est une dynamite qui fonce vers lui.
Nous le voyons, voyons en lui, l'entendons, entendons tout ce que ne peut articuler so cri, l'accompagnons, lui parlons en levant la tête vers lui et vers le ciel ou passent les oiseaux don les chants sont écrits à la plume et ou passent les grands avions qui parfois heurtent les hautes tours.
Nous marchons avec lui, l'accompagnons tellement que nous allons en lui, vivons en ses 25 000 kilos de chair et d'âme, de griffes et de cœur.
Et nous lançons une supplique à Kong, un chant pour tenter d'apaiser sa douleur, des mots en lieu et place de ce que ne peut dire Kong, des phrases qui aimeraient faire barrage à l'inévitable qui est en route en Kong.
Formulons une adresse à travers la jungle de la vie, des questions pour essayer de changer le cours du destin de Kong Et des rêves pour tenter de contrer le cauchemar.
Et lorsque Kong n'est plus là ,nous voudrions l'entendre encore, nous aimerions le questionner et savoir et comprendre, toujours le tenir par la main... C'est qu'il est aussi une femme debout devant un lac d'hiver, un homme assis au rond d'une cabine téléphonique celle et celui dont soudainement la vie tout entière recule d'une pas et qui est tous les pas.
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez nos CGV et l'utilisation de cookies pour vous proposer des contenus et services adaptés à vos centres d'intérêts et vous permettre l'utilisation de boutons de partages sociaux. En savoir plus sur ces paramètres