Vous vivrez, baiserez, mourez.
Et rien de ce que vous ferez ne changera l'idée de l'homme.
L'idée de l'homme persistera indépendamment de votre vie et de votre mort.
La nature vous ignore.
Le vent, les tempêtes, la chaleur,
toutes ces merveilles vous ignorent.
La chaleur est absolument indifférente
à votre putain de vie et à votre putain de mort.
Même si on retrouve vos cadavre déchiquetés au bord du fleuve,
pour le fleuve, vous n'êtes ni vivants ni morts.