Deux femmes, très différentes, voire totalement opposées. Un point commun cependant : si elles parlent sans discontinuer, c'est pour ne pas totalement perdre pied.
Dans Mon chat s'appelle Odilon pour Natacha, hantée par la peur de la solitude, tout s'arrangerait peut-être si elle pouvait tout autant s'investir affectivement dans l'homme auquel elle s'accroche que dans son animal de compagnie. Le récit, parfois cocasse, des ses tribulations au cours de la journée ou elle fait châtrer le jeune chat révèle peu à peu un être totalement décalé par rapport au monde qui l'entoure.