Ce qui nous aura souterrainement guidés, lors de ces conversations, ce qui nous aura touchés, Guillaume, Michel et moi, c'est de voir comment leur histoire à chacun rencontre la grande (la deuxième guerre mondiale, la guerre d'Algérie, Mai 68), comment l'intime et le public se mélangent, comment une vie nourrit une carrière. Quelque chose qui est de l'ordre de la transmission au sens large - transmission de valeurs, transmission d'une vision du monde. Une parole. Un parcours de vie. Jacqueline Bir dirait - on ne fréquent pas impunément pendant soixante ans les plus grandes tragédies du répertoire - un destin.
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