« Au cernier moment - c'est-à-dire lorsque les bagages de la comtesse étaient déjà chargés dans les coffres au-dessus de la berline - le comte annonça qu'on ne partait pas ». Que faire ? Les esprits s'échauffent. La comtesse se confie à son abbé ; et le comte à la jeune gouvernante... Marc-Olivier, le fils un peu attardé, reste avec ses perruches. Les langues se délient et de fâcheuses vérités risquent d'éclore. Sous-entendu, mal entendus, lâchetés, veuleries... Un départ en vacances remet parfois tout en cause.
Christophe Mory adapte ici, avec humour incisif, une nouvelle d'André Gide : L'Art bitraire.
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