Première pièce, Sophie Dangerville est comédienne. Elle a tout Paris a ses pieds, et le marquis de Villandry. Mais parfois le monde l'exaspère, c'est la faute a Voltaire. Et monsieur de Valhubert est si beau. C'est la faute a Rousseau. Que peut le pauvre Frontin devant les incertitudes de Sophie. Deuxième pièce, Dieu que le philosophie serait jolie s'il n'y avait les révolutions et les bizarres journées ou les lingères mélangent les bourgeois et les valets.
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