Ce qui est encore pire, c'est que pendant ces accès de sobriété totale, insensée, je tombe carrément au niveau de la bête. A ce moment-là je n'ai plus la moindre inhibition. Ce que je fais dans cet état, frère, on ne peut vraiment pas le porter à mon compte. Pas si on a un cœur dans la poitrine et si on n'oublie pas de se dire que je suis malade. Je suis alors pleinement responsable de mes actes.
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