Le facteur part à la retraite, le club de couture recrute pour la nouvelle saison, la maison des jeunes inaugure sa salle polyvalente, un petit garçon a perdu son chien, la fête votive s'achève par un peu d'artifices, l'association de modélisme tient son assemblée générale, le photographe du village expose, etc. A partir de ces non-événements, Jean-Michel Baudoin invente de courtes scènes aux dialogues tirés au cordeau, ou s'invitent l'humour, l'ironie, la poésie, voire la cruauté et le surréalisme.