Max aime Annie qui aime Henry, lequel est marié à  Charlotte. Rien ne résiste aux passions d'Annie; ni Henry, auteur dramatique à  succès, ni Billy, son partenaire sur scène, ni Brodie, un jeune objecteur de conscience en faveur de qui elle milite. Henry, dévoré de jalousie, acceptera-t-il qu'elle joue loin de lui une pièce qu'il n'a pas écrite? Annie lui restera-t-il fidèle?

Le passé et le présent se mettent à  dialoguer dans les virtuoses jeux de miroir ou se reflètent également d'autres débats, entre classicisme et romantisme, sensation et raison...

Albert, jeune diplômé en philosophie se fait embaucher par une société chargée de repeindre un pont. Là -haut, loin du tumulte et des désordres de la vie, Albert trouve sa tour d'ivoire. Petit à  petit, il va faire du pont sa chose, sa raison d'être, sa vraie vie...

Ce texte reflète bien (avec les autres) toute l'étendue foisonnante et originale du registre d'un des auteurs les plus en vue sur la scène anglaise. Ces pièces complètent et préfigurent même certaines de ses œuvres maîtresses.

Ce texte (avec les autres) reflète bien toute l'étendue foisonnante et originale du registre d'un des auteurs les plus en vue sur la scène anglaise. Ces pièces complètent et préfigurent même certaines de ses œuvres maîtresses.

C'est à  rebrousse-temps qu'il nous fait d'abord avancer dans la connaissance de ses personnages. Cette remontée dans un passé de plus en plus lointain paraît nous éloigner de l'énigme qu'il pose au premier tableau. quand le courant s'inverse, nous comprenons alors mieux les caractères et l'énigme se résout pour ainsi dire d'elle-même. A cela s'ajoute tout un jeu sur l'interprétation des signes et, puisque les protagonistes sont de vieux artistes oubliés, une réflexion tendre et ironique sur le rôle de l'art dans société.

Tom Stoppard procède à  un détournement de langage dont il exploite tous les effets comiques possibles.

Cette pièce paraît sans lien avec la Dogg s'Hamlet et se réfère à  la période de normalisation en Tchécoslovaquie fin 1977. Des comédiens interdits de scène y jouent, en appartement, une version condensée de Macbeth dans laquelle font irruption un inspecteur de police et des personnages de la première pièce.

Tom Stoppard laisse libre cours à  son imagination et à  son humour dévastateur et surréaliste dans ce tableau.

Jan, un étudiant tchèque fan de rock, quitte Cambridge en 1968 pour rejoindre Prague. Il quitte Max, un professeur très british mais procommuniste, sa femme Eleanor et leur fille Esmé, jeune hippie amoureuse de lui. Les vingt ans qui suivent sont un chassé croisé entre le pays du rock et de la liberté et celui de la contestation passive par la musique, entre les idéaux d'un intellectuel à  l'Ouest et la réalité des années de plomb derrière le rideau de fer.

Un vieux manoir anglais, ds marais mouvants,un fou en cavale, un cadavres, des acteurs, et deux critiques dans leur fauteuil. Mais la mise en abyme, chère à Tom Stoppard, fait son œuvre et, dans un vertige d'humour, la critique assassine est assassinée...

Ce texte (avec les autres) reflète bien toute l'étendue foisonnante et originale du registre d'un des auteurs les plus en vue sur la scène anglaise. Ces pièces complètent et préfigurent même certaines de ses œuvres maîtresses.

Cette pièce en 3 actes influencée par Beckett et T.S. Eliot fit connaître Stoppard en 1967. Elle tire son titre et ses personnages du Hamlet de William Shakespeare. Alors qu'Hamlet, Claudius et Gertrude gisent morts sur la scène l'ambasadeur d'Angleterre fait son entrée et annonce que "Rosencranhtz et Guildenstern son morts". Mais, Rosencrantz et Guildenstern sont-ils vraiment morts ? Et s'ils ne quittaient pas vraiment la scène ? C'est ainsi que commence la pièce de Tom Stoppard : deux personnages Ros et Guil jouent aux dés et s'interrogent sur la…