Un Père dialogue avec sa fille absente. Elle est au delà des mers, lui dans un café maure, devant un thé a la menthe, entouré de curieux qui veulent savoir qui il préfère de ses enfants. Il se tait. Mais sa pensée va vers sa fille. Il lui parle tout en restant silencieux.
Il était une fois... Non ! Pas un Prince ! Il était une fois... un homme, qui voulait se remarier. Mais... pourquoi ? Parce qu'il voulait des enfants et que sa première femme était stérile. Plus tard, Père de sept enfants, il voudra se remarier encore. Mais pourquoi ? Dans une certaine tradition en effet, les raisons ne manquent pas à un homme qui caresse l'idée de posséder plusieurs femmes. Pour mieux lui faire accepter son destin il pare l'épouse de quelque vice rédhibitoire : elle est trop vieille, elle…
Sedka, une jeune fille du village est secrètement fiancée à un étranger. Pour être admis dans la communauté et épouser celle qu'il aime, l'étranger demande à être circoncis. Les hommes du village délibèrent. Tous croient que la circoncision est la fête firile par excellence, celle qui scelle le musulman à sa communauté. La tradition la demande, parle Coran. Peut-on admettre un homme qui croit d'abord en l'Amour, avant de croire en Dieu ? Sedka pourra-t-elle épouser Pierre et sur ce sacrifice, fonder sa vie ?
Lors de la parution du numéro 1000 de l'Avant-scène, 26 auteurs ont écrit une comédie en un acte ayant pour théme le numéro 1000.Un royaume ou le roi s'excuse presque de l'être et la femme est un trésor.
Aux portes de la mémoire close de Molly, se pressent tous les fantômes truculents de son passé présent , son Père arabe, sa Mère juive, ses tantes vieilles filles, sa grand Mère aventurière... Elle joue toutes les femmes de son pays, d'ici et d'ailleurs.
A l'occasion du quinzième anniversaire de Indépendance de l'Algérie, une famille algéroise habitant le quartier de Belcourt invite une famille pied-noir résidant à Paris, à passer des vacances à Alger. Ce sont des voisins. On se retrouve, on s'embrasse, on regrette de d'avoir pas marié les enfants des uns et des autres ensemble, on mange, on pleure, on rit, on tente de panser définitivement les plaies de l'Histoire. Mais le chagrin est là qui guette encore... Et la trahison.
Une Algérienne vivant à Paris depuis longtemps s'interroge sur l'opportunité de rentrer enfin au pays. Elle revient pour organiser la grande fête familiale : l'enterrement de sa Mère. Lugubre ? Non rituellement spectaculaire.
Le Maitre a quatre filles. l'aînée, Gabriella joue depuis longtemps le rôle de Mère auprès de ses sœurs, et le Père a chassé les uns après les autres tous les prétendant possibles afin de garder ses filles auprès de lui. Isola et Maria, comme leur sœur ainée, ne peuvent plus prétendre au mariage, mais se résignent mal au rôle de vieille filles. Elles sont prêtes à se révolter contre la toute puissance paternelle, trop rigide.
C'est la cérémonie de la circoncision. Car pour être admis dans la communauté, les hommes doivent être circoncis et l'étranger non circoncis ne peut épouser une musulmane.
A l'occasion du quinzième anniversaire de Indépendance de l'Algérie, une famille algéroise habitant le quartier de Belcourt invite une famille pied-noir résidant à Paris, à passer des vacances à Alger. Ce sont des voisins. On se retrouve, on s'embrasse, on regrette de n'avoir pas marié les enfants des uns et des autres ensemble, on mange, on pleure, on rit, on tente de panser définitivement les plaies de l'Histoire. Mais le chagrin est là qui guette encore... Et la trahison.
Une Algérienne vivant à Paris depuis longtemps s'interroge sur l'opportunité de rentrer enfin au pays. Elle revient pour organiser la grande fête familiale : l'enterrement de sa Mère. Lugubre ? Non rituellement spectaculaire.
Dans une fête familiale superbe, arrive une pauvresse. Une mendiante ? Non. Une lépreuse ? Non. une femme qui souffre. De quoi ? Ce la disparition politique des siens. C'est quoi ça ? Eh bien en Algérie, comme en Argentine, il y a des milliers de citoyens qui disparaissent chaque jour. Attention à vous, si vous êtes Algérien ou Argentin ! Vite, des masques ! Il est vrai que nous sommes au théâtre ! Pendant que la réalité tragique continue... impunément !
Les auteurs de ces textes ont en commun d'appartenir à une académie bien peu académique, l'académie international des auteurs dramatiques contemporains de Châtillon sur Châlaronne dans la Dombes.
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