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Avis des lecteurs
Les librairies
Le grand Père vient de mourir. Les membres de la famille sont prêts pour l'enterrement : les fleurs, la préparation des repas... Un couple et leur fille, observation attentive de la vie quotidienne, aux frontières de l'absurde, mais en plein naturel... Des conversations décousues qui font le rythme, comme une façon de neutraliser le silence...
L'élève féminine du précepteur doit avoir 8 puis 16, 18 et 23 ans...Et elle va passer de l'enseignement au désir...
Une famille rouillée, ils sont quatre recroquevillés sur un bonheur étouffant... Une famille sans Père, la Mère vit avec sa fille et ses deux grands fils dans un conflit de générations en vase clos. Protestation contre une vie familiale trop conformiste... Haine de la famille, bêtise... Toute la misère de l'individu.
Un vieil employé calfeutré avec son épouse dans un appartement sinistre, guette les bruits de la gare voisine et contrôle le passage des trains. Un retard du 16 h 14 et son existence est bouleversée. Nous le voyons vivre avec sa femme dans cette monotonie ponctuée par le bruit incessant des trains qui passent. Est-ce une vie ? A la fin ils se demanderont si ils sont bien vivants...
L'imagination se laisse aller aux fantaisies d'une poésie lyrique aiguisée par une volonté de dérision... Dans cette épicerie, huit personnages s'agitent, se heurtent, se rapprochent, se manipulent ou se trahissent...