Actualités
Chercher par auteur
Chercher par titre
Les librairies
Lieu des au revoir et des adieux, lieu aux histoires meurtries, aux décisions décousues, aux envols vainqueurs, lieu de toutes les souffrances, de toutes les interrogations et de tous les espoirs, lieu des larmes chaudes et des serments hâtifs, lieu des derniers sourires, des paroles qu'on n'oubliera jamais et des baisers donnés pour la vie, voici la gare. La gare déclinée sous toutes ses formes, de la plus banale à la plus inattendue, grouillante d'humanité. Une multitude de trajectoires individuelles juxtaposées par la magie du théâtre.
La relation mère-fille selon Bonal : forcément féroce !!
C’est un morceau de noce qui se déroule à la campagne, avec des invités qui se croisent, se cherchent, ou se retrouvent, traversés par cette fièvre mi-ardeur, mi-tourment qui agite les cœurs lors des mariages. Sorte de panorama où se mêlent et se démêlent des souvenirs, des questionnements et des désirs.
Quinze auteurs dramatiques ont écrit des textes qui mettent en jeu au moins dix personnages en l'espace d'une demi-heure. Une grande variété d'écritures et de situations sont ainsi proposées : l'effervescence des préparatifs d'un mariage soudain révélatrice de tout un univers familial : une autre scène de noces, propice celle-là aux évocations nostalgiques ; un viol et tout son cortège de témoignages ; le déplacement nocturne d'un cimetière qui fait surgir des fantômes du passé ; une enquête policière ; des conversations de bébés dans les couloirs d'une maternité ;…
Pour célébrer avec éclat 25 années au service de la littérature dramatique, 25 auteurs de Théâtrales offrent ici une oeuvre inédite. Venus d'horizons géographiques ou culturels différents, familiers de notre catalogue, ces écrivains racontent le monde, creusent le réel et participent à la vitalité du théâtre d'aujourd'hui. Pour chacun, ces pièces marquent une étape dans leur démarche d'écriture et confirment l'originalité et les qualités de leur langue. Usant du monologue et du dialogue, du récit direct ou du flash back, en passant par le satire, le loufoque, la mise en…
Eulalie et sa Mère préparent la salade. Une chenille y fait sa maison. Terrorisée, la Mère n'hésite pas à l'écraser. C'est alors que Ché, une énorme chenille fait irruption dans le salon pour comprendre le geste de la Mère.
Que faire de ses parents âgés ? Comment porter un enfant dont on ne sera pas la Mère ? Telles sont les deux questions graves et sensible que pose Denise Bonal dans ce pièces aux dimensions sociale et féministe donc l'actualité brûlante commandait la réédition. Dans Passion et Prairie Trois sœurs flanquées de maris antagonistes se retrouvent pour un déjeuner sur l'herbe, en attendant l'éclipse. Lasse d'être considérée comme quantité négligeable, leur vieille Mère annonce sa volonté de s'éclipser avec un fils adoptif, plus compréhensif.
Que faire de ses parents âgés ? Comment porter un enfant dont on ne sera pas la Mère ? Telles sont les deux questions graves et sensible que pose Denise Bonal dans ce pièces aux dimensions sociale et féministe donc l'actualité brûlante commandait la réédition. Elles sont un peu perdues ces jeunes femmes légères en août, dans cette institution censée abriter leurs grossesses. Les unes portent un enfant pour le vendre à sa naissance. Les autres ont été placées là pour cacher une situation honteuse. Mais leur liberté de ton…
Honorée par un petit moment tire son origine d'un fait divers, paru dans la presse il y a quelques années, et qui relatait, en trois lignes, le procès fait par un jeune Italien à l'hôpital ou il avait été amputé d'une jambe : on aurait dû, pensait-il, lui restituer sa jambe. Il avait l'intention de l'enterrer. Comment cet homme d'une vingtaine d'années va se trouver confronté à ce corps modifié, à ce vide à côté de lui; comment les premières nuits et les premiers jours vont être le voyage inévitable…
Honorée par un petit moment tire son origine d'un fait divers, paru dans la presse il y a quelques années, et qui relatait, en trois lignes, le procès fait par un jeune Italien à l'hôpital ou il avait été amputé d'une jambe : on aurait dû, pensait-il, lui restituer sa jambe. Il avait l'intention de l'enterrer. Comment cet homme d'une vingtaine d'années va se trouver confronté à ce corps modifié, à ce vide à côté de lui; comment les premières nuits et les premiers jours vont être le voyage inévitable…
Honorée par un petit moment tire son origine d'un fait divers, paru dans la presse il y a quelques années, et qui relatait, en trois lignes, le procès fait par un jeune Italien à l'hôpital ou il avait été amputé d'une jambe : on aurait dû, pensait-il, lui restituer sa jambe. Il avait l'intention de l'enterrer. Comment cet homme d'une vingtaine d'années va se trouver confronté à ce corps modifié, à ce vide à côté de lui; comment les premières nuits et les premiers jours vont être le voyage inévitable…
Honorée par un petit moment tire son origine d'un fait divers, paru dans la presse il y a quelques années, et qui relatait, en trois lignes, le procès fait par un jeune Italien à l'hôpital ou il avait été amputé d'une jambe : on aurait dû, pensait-il, lui restituer sa jambe. Il avait l'intention de l'enterrer. Comment cet homme d'une vingtaine d'années va se trouver confronté à ce corps modifié, à ce vide à côté de lui; comment les premières nuits et les premiers jours vont être le voyage inévitable…
Honorée par un petit moment tire son origine d'un fait divers, paru dans la presse il y a quelques années, et qui relatait, en trois lignes, le procès fait par un jeune Italien à l'hôpital ou il avait été amputé d'une jambe : on aurait dû, pensait-il, lui restituer sa jambe. Il avait l'intention de l'enterrer. Comment cet homme d'une vingtaine d'années va se trouver confronté à ce corps modifié, à ce vide à côté de lui; comment les premières nuits et les premiers jours vont être le voyage inévitable…
Honorée par un petit moment tire son origine d'un fait divers, paru dans la presse il y a quelques années, et qui relatait, en trois lignes, le procès fait par un jeune Italien à l'hôpital ou il avait été amputé d'une jambe : on aurait dû, pensait-il, lui restituer sa jambe. Il avait l'intention de l'enterrer. Comment cet homme d'une vingtaine d'années va se trouver confronté à ce corps modifié, à ce vide à côté de lui; comment les premières nuits et les premiers jours vont être le voyage inévitable…
Honorée par un petit moment tire son origine d'un fait divers, paru dans la presse il y a quelques années, et qui relatait, en trois lignes, le procès fait par un jeune Italien à l'hôpital ou il avait été amputé d'une jambe : on aurait dû, pensait-il, lui restituer sa jambe. Il avait l'intention de l'enterrer. Comment cet homme d'une vingtaine d'années va se trouver confronté à ce corps modifié, à ce vide à côté de lui; comment les premières nuits et les premiers jours vont être le voyage inévitable…
Honorée par un petit moment tire son origine d'un fait divers, paru dans la presse il y a quelques années, et qui relatait, en trois lignes, le procès fait par un jeune Italien à l'hôpital ou il avait été amputé d'une jambe : on aurait dû, pensait-il, lui restituer sa jambe. Il avait l'intention de l'enterrer. Comment cet homme d'une vingtaine d'années va se trouver confronté à ce corps modifié, à ce vide à côté de lui; comment les premières nuits et les premiers jours vont être le voyage inévitable…
Honorée par un petit moment tire son origine d'un fait divers, paru dans la presse il y a quelques années, et qui relatait, en trois lignes, le procès fait par un jeune Italien à l'hôpital ou il avait été amputé d'une jambe : on aurait dû, pensait-il, lui restituer sa jambe. Il avait l'intention de l'enterrer. Comment cet homme d'une vingtaine d'années va se trouver confronté à ce corps modifié, à ce vide à côté de lui; comment les premières nuits et les premiers jours vont être le voyage inévitable…
D'ordinaire, les dimanches en famille sont joyeux, faits de siestes réparatrices ou de promenades vivifiantes. D'ordinaire, frères et sœurs sont réunis pour des jeux interminables pendant que les adultes bavardent autour du café. Mais lorsque les parents ne parviennent plus à retirer leur fille des mains d'amis, sortes de nounous provisoires devenues quasi-geôliers trop zélés, tout se dérègle. La tension est palpable. la valise n'est plus le symbole des vacances, mais celui du dimanche de trop ou l'on n'a pas su récupérer la petite. L'écriture sensible de Denise Bonal s'accorde…
Lieu des au revoir et des adieux, lieu aux histoires meurtries, aux décisions décousues, aux envols vainqueurs, lieu de toutes les souffrances, de toutes les interrogations et de tous les espoirs, lieu des larmes chaudes et des serments hâtifs, lieu des derniers sourires, des paroles qu'on n'oubliera jamais et des baisers donnés pour la vie, voici la gare. La gare déclinée sous toutes ses formes, de la plus banale à la plus inattendue, grouillante d'humanité. Une multitude de trajectoires individuelles juxtaposées par…
Lieu des au revoir et des adieux, lieu aux histoires meurtries, aux décisions décousues, aux envols vainqueurs, lieu de toutes les souffrances, de toutes les interrogations et de tous les espoirs, lieu des larmes chaudes et des serments hâtifs, lieu des derniers sourires, des paroles qu'on n'oubliera jamais et des baisers donnés pour la vie, voici la gare. La gare déclinée sous toutes ses formes, de la plus banale à la plus inattendue, grouillante d'humanité. Une multitude de trajectoires individuelles juxtaposées par…