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Les librairies
Dans plus ou moins, Clémence Weill questionne les croyances qui peuplent notre époque et leurs déviés : les tocs et les superstitions. Nostre rapport méthaphysque à l'existence se retrouve au centre de tableaux empreints d'humour et de gravité, comme autant courtes nouvelles théâtrales agencées pour proposer un tout.
L'autrice part de faits divers ou de petites histoires recueillies çà là pour plonger dans nos existences et dans l'infini de nos rituels individuels et collectifs. De la jeune femme qui assiste à l'enterrement de son grand-père sans trop…
Un coin de campagne d'Europe occidentale. Dans la résidence secondaire de Gerhart et Frances, les douze membres d'une grande famille se retrouvent pour leur traditionnelle réunion estivale, entre garden-party et assemblée générale. Sur fond d'Hymne à la joie, les non-dits et les rancunes planent, les alliances se nouent.
Alors que les plats s'enchaînent, est enfin abordé le sujet central qui les préoccupe tous : qui votera pour la mise sous tutelle du grand-père, Pappoùs ? Six mois que le vénérable ancêtre semble avoir perdu la tête. Il…
Ce recueil rassemble six pièces courtes pour la pratique du théâtre des 11-14 ans.
Dans un monde en perpétuel mouvement, comment inventer nos nouveaux idéaux ?
Il était une fois la fin des années 90 dans un lycée-internant, classe option cinéma. La mission demandée aux élèves ? S'inspirer d'un fait d'actualité pour réaliser leur propre court-métrage. À l'époque du Titanic, Lady Di et des premiers tamagotchi, Ingrid et les autres vont chercher la frontière entre fiction et documentaire, transformer par le jeu leurs réalités et surtout : en rire.
Personnage mystérieux, tout à tout boxeuse, bergère, loupe, chasseuse ou chirurgienne, Bleuenn nous entraîne dans un texte kaléidoscopique dont le fil rouge est celui du sang menstruel.
Toutes ces voix donnent corps à la trajectoire d'une femme en quatre cycles, mêlée à l'histoire d'amour entre elle et un homme carnivore.
À travers ce portrait de femme à la langue vive et à l'humour mordant, émaillé de questionnement faussement naïfs, Clémence Weill rend hommage à de nombreuses artistes et signe un texte résolument féministe.