Depuis 1987, Jean-Marie Gourio travaille dans les bistrots. Il écoute, regarde, note, recueille ce que les clients disent, ce qu'ils font, les observe. Chaque année, il rassemble dans un livre les phrases expressions prononcées par des milliers de gens, le verre à  la main. En 1994, Jean-Marie Gourio et Jean-Michel Ribes, qui mouraient d'envie de composer, pour le théâtre, une sorte "d'opéra parlé " dont le livret et la musique seraient tirés de ce mélange de sagesse et de conneries populaires, ont créé la pièce Brèves de comptoir au Théâtre…

Vingt ans déjà , qu'il hante les bistrots, les squares, les magasins, les coins de rue. Vingt ans que carnet en main, Jean-Maire Gourio, entend et recueille des merveilles de poésie, d'absurdité et de bouffonnerie.
Au comptoir des amis, au Balto, Chez Fernand, dans la quiétude ou la bousculade, surgit une étrange et fugitive littérature du quotidien, une musique de petites phases sur tout et sur rien, sur le monde et la vie. Des brèves, dont le mystère, l'idiotie, la folie ou la sagesse cachée constituent une fête inépuisable du…

Jean-Maire Gourio a inventé une forme nouvelle. Il est très rare d'avoir la chance de créer un genre. un soir de 1985, Gourio se trouvait dans un bar, rue des Trois-Portes, au moment ou un client vaguement bourré assena à  son pote : "Une plante carnivore peut pas être végétarienne, enfin je crois." Il a suivi son instinct en dégainant son carnet jaune et son stylobille, afin de grave la sentence dans le marbre. Les brèves de comptoir étaient nées.

Une version intégrale des brèves de comptoir

Une version intégrale des brèves de comptoir

Une compilation de dix mille brèves de comptoir

Un des dernières compilations des brèves de comptoir dont 2000 sont inédites

Le second volume d'une des dernières compilations des brèves de comptoir.

Le brève de comptoir obéit aux saison, aussi sûrement que les enfants naissent en hiver parce qu'il sont conçus au printemps, qu'on trépasse en automne parce que les morts y ont leur jour, qu'on réveillonne en hivers, vote au printemps, villégiature en été...
Voilà  le printemps ! Les hommes politiques mentent plus qu'à  l'ordinaire, les jupes raccourcissent et le badaud s'épanouit au rythme de la nature qui reverdit. C'est la saison des femmes, celle ou elles s'aventurent au zinc faire assaut d'esprit avec les mêles accoudés. Les glaçons refont…

Le brève de comptoir obéit aux saison, aussi sûrement que les enfants naissent en hiver parce qu'il sont conçus au printemps, qu'on trépasse en automne parce que les morts y ont leur jour, qu'on réveillonne en hivers, vote au printemps, villégiature en été...
Voilà  justement l'été. C'est le défilé des militaires et des minijupes, les jours et les pastis s'allongent, les habitués du zinc migrent vers d'autres comptoir, en quête de soleil et d'exotisme. C'est aussi la saison des épouses acariâtres, celles des enfants capricieux. La vie paraît pourtant…

Le brève de comptoir obéit aux saison, aussi sûrement que les enfants naissent en hiver parce qu'il sont conçus au printemps, qu'on trépasse en automne parce que les morts y ont leur jour, qu'on réveillonne en hivers, vote au printemps, villégiature en été...
Voici l'automne et ses mélancolies, le temps des morts nouveaux et du beaujolais qui ne vieillira pas. Aucune saison comme celle-là  pour vous porter à  la métaphysique : Dieu ou néant ? Résurrection ou réincarnation ? Pastis ou demi ? En attendant l'hiver qui s'annonce rude…

Le brève de comptoir obéit aux saison, aussi sûrement que les enfants naissent en hiver parce qu'il sont conçus au printemps, qu'on trépasse en automne parce que les morts y ont leur jour, qu'on réveillonne en hivers, vote au printemps, villégiature en été...
L'hiver, saison multicolore : les buveurs ont le nez rouge, ils sont autant de Pères Noël éperdus. Boules émeraude ou rubis, les guirlandes d'or, d'argent ou guimauve s'enlacent au vert sapin, domestique. L'hiver ramène en fête la famille, ranime les souvenirs d'enfance : il neige, voyez…

Nouvelles séries de brèves de comptoir pour le théâtre

Coffret comprenant trois volumes des brèves de comptoir :
- Bréves de comptoir 1 une journée
- Bréves de comptoir 2 une année
- Bréves de comptoir 3 une semaine

Un café ? Un petit verre ? Peu importe. Jean-Marie Gourio ne se content pas de commander au comptoir, il écoute. Il écoute à Paris, à Rennes, à Sens ou Annecy, et attrape au vol ces perles sorties de toute liberté au hasard d'une conversation. Cocasses, désopilantes, poétiques, lucides, elles désarment le lecteur par leur efficacité. In vino veritas : cette maxime éternelle est plus vraie que jamais.

Un comptoir. Des clients. 9.000 brèves. Ce livre est un bistrot ! Il suffit d'ouvrir la porte, de s'installer au bar et d'écouter ce que les gens accoudés disent sur tout et sur rien.

Jean-Marie Gourio rassemble les perles entendues dans quelques centaines de cafés de France pendant mille et un jours de bar. Consommer sans modérations : Le Grand Café des Brèves de comptoir ne ferme jamais !

Deuxième tournée générale ! C'est encore Jean-Marie Gourio qui régale avec ses nouvelles brèves de comtpoir, les aphorismes génitaux des "vrais gens".

Politique internationale, catastrophe climatique, banalités de l'existence : à chaque sujet sa formule lapidaire, lancée avec une parfaite lucidité par des cerveaux rincés de blanc doux, de Zuze, de Pelforth trait de Picon ou des trois à la fois !

 

Avis aux lecteurs.

Ce livre s'adresse avant tout aux lecteurs fortunés, voire super fortunés, et pour le moins abonnés au grand luxe. Si vous ne possédez ni compte en Suisse, ni riad à Marrakech, ni yacht à Monaco, ni résidence dans un paradis fiscal, ni bien sûr, jet privé, passez votre chemin .

Ces conseils vous son prodigués par Jean- Michel ribes qi a fait sa fortune au Théâtre du Rond-Point, et Jean-Maire Gourio, devenu multimilliardaire avec ses Brèves de comptoir, rien qu'un allant…

Depuis des années, Jean-Marie Gourio recueille avec soin ces perles surgies du gosier des piliers de bistrot. C'est son complice Jean-Michel Ribes, auteur et metteur en scène, qui lui propose de les adapter au théâtre ain de mettre ce génie populaire dans la bouche de personnages et de leur donner vie.

Ce livre constitue l'intégrale de ces brèves données pour la scène. L'occasion de retrouver l'humour décapant et attachant du patron ou de la patronne et leurs clients, autour d'un comptoir qui ne s'use pas.