"Sont convoqués, dans une vive sarabande, jeunes premiers et pères nobles, valets de comédie et clowns, amoureuses et soubrettes, sous la conduite d'un fou échappé à  une cour de jadis, mais qui connaît aussi bien Musset qu'Artaud, la commedia dell'arte que le mélodrame ou Margot a pleuré. Comment rêver plus subtil et plus inventif pédagogue, pour confronter les jeunes gens du temps présent aux figures immémoriales du théâtre, brassées comme dans une jeux de cartes ?"

"Sont convoqués, dans une vive sarabande, jeunes premiers et pères nobles, valets de comédie et clowns, amoureuses et soubrettes, sous la conduite d'un fou échappé à  une cour de jadis, mais qui connaît aussi bien Musset qu'Artaud, la commedia dell'arte que le mélodrame ou Margot a pleuré. Comment rêver plus subtil et plus inventif pédagogue, pour confronter les jeunes gens du temps présent aux figures immémoriales du théâtre, brassées comme dans une jeux de cartes ?"

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"Sont convoqués, dans une vive sarabande, jeunes premiers et pères nobles, valets de comédie et clowns, amoureuses et soubrettes, sous la conduite d'un fou échappé à  une cour de jadis, mais qui connaît aussi bien Musset qu'Artaud, la commedia dell'arte que le mélodrame ou Margot a pleuré. Comment rêver plus subtil et plus inventif pédagogue, pour confronter les jeunes gens du temps présent aux figures immémoriales du théâtre, brassées comme dans une jeux de cartes ?"

"Sont convoqués, dans une vive sarabande, jeunes premiers et pères nobles, valets de comédie et clowns, amoureuses et soubrettes, sous la conduite d'un fou échappé à  une cour de jadis, mais qui connaît aussi bien Musset qu'Artaud, la commedia dell'arte que le mélodrame ou Margot a pleuré. Comment rêver plus subtil et plus inventif pédagogue, pour confronter les jeunes gens du temps présent aux figures immémoriales du théâtre, brassées comme dans une jeux de cartes ?"

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"Sont convoqués, dans une vive sarabande, jeunes premiers et pères nobles, valets de comédie et clowns, amoureuses et soubrettes, sous la conduite d'un fou échappé à  une cour de jadis, mais qui connaît aussi bien Musset qu'Artaud, la commedia dell'arte que le mélodrame ou Margot a pleuré. Comment rêver plus subtil et plus inventif pédagogue, pour confronter les jeunes gens du temps présent aux figures immémoriales du théâtre, brassées comme dans une jeux de cartes ?"

"Sont convoqués, dans une vive sarabande, jeunes premiers et pères nobles, valets de comédie et clowns, amoureuses et soubrettes, sous la conduite d'un fou échappé à  une cour de jadis, mais qui connaît aussi bien Musset qu'Artaud, la commedia dell'arte que le mélodrame ou Margot a pleuré. Comment rêver plus subtil et plus inventif pédagogue, pour confronter les jeunes gens du temps présent aux figures immémoriales du théâtre, brassées comme dans une jeux de cartes ?"

Huit auteurs ont accepté avec un bel esprit d'aventure, digne de l'auteur qu'ils honorent (QUENEAU) d'écrire et de porter à  la scène des textes inédits. En écrivant leur pièce dans l'esprit de l'auteur de Zazie, ils ont situé l'action de leur œuvre dans le cadre devenu mythiquement quenien : celui d'un autobus ou d'un de ses arrêts si propres à  lier les conversations (Yoland Simon) Huit auteurs en quête de personnages, hit exercices de style originaux et fantaisistes qui sont autant d'hommages à  Raymond Queneau.

Lors de la parution du numéro 1000 de l'Avant-scène, 26 auteurs ont écrit une comédie en un acte ayant pour théme le numéro 1000.Dans un tribunal, on traite la millième affaire.

Mon petit cœur, n'avez vous fait donner aujourd'hui la question à  personne?, demande, gourmande, la femme du Conseiller de la Tournelle. C'était au XVIII ème siècle, on y pratiquait la torture, ainsi le voulait la procédure, et les mœurs les plus policées s'accommodaient des coutumes les plus cruelles. Ce n'est pas au vingtième siècle qu'on vivrait pareil aventure...

Deux compagnes d'autrefois, ennemies de toujours, ressassent leurs vieilles querelles et leurs mensonges.

Bizarres journées ou les lingères mélangent les bourgeois et les valets.

La vie , c'est bien assez dur sans y ajouter des guerres, dit Simone, dans sa sagesse populaire. Et la guerre, celle de 40, les personnages de la pièce voudraient bien l'oublier, dans le huis clos de leur cabaret. Hélas, on échappe pas a son époque, et l'histoire, la maladie, s'invitent a table. La tragédie surgit là  ou on ne l'attendait pas.

Evocation de la fin tragique d'un jeune ouvrier sans emploi.

Romantique ou classique? La pièce évoque ce dilemme vieux de bientôt deux siècles. Sous une forme délibérément divertissante, l'auteur revient sur cette révolution culturelle que connut l'espace théâtral, et sur la fameuse bataille d'Hernani. Népomucéne le vieux Classique bedonnant et Philotée, le romantique échevelé, courtisent tout deux, chacun avec ses propres armes, la belle Olympe d'Harcourt, témoin gracieux de cet affrontement. Un acte vif, animé, pour divertir autant qu'enseigner. L'édition du texte est complétée par un appareil critique des notes, une iconographie évoquant le drame Romantique et des textes en…

Sophie Dangerville est comédienne. Elle a tout Paris à  ses pieds, et le marquis de Villandry. Mais parfois le inonde l'exaspère, c'est la faute à  Voltaire. Et monsieur de Valhubert est si beau. Cest la faute à  Rousseau. Que peut le pauvre Frontin devant les Incertitudes de Sophie

Après ses "Dialogues élémentaires" ou il explorait les bizarreries du langage, Yoland Simon nous offre cette savoureuse approche des grandes questions philosophiques.
On se gardera cependant d'y chercher des réponses trop précises. On se contentera de découvrir que le sujets les plus compliqués peuvent devenir très simples lorsque l'on prend le parti d'en sourire.

En 1920, deux sœurs parlent de la mort du fils de l'une d'entre elles. A travers cette évocation, elles nous font connaître les deux familles. Elles quitteront leur ferme pour laisser la place à  leurs enfants, mais resteront ensemble pour réunir les vivants.

Première pièce, Sophie Dangerville est comédienne. Elle a tout Paris a ses pieds, et le marquis de Villandry. Mais parfois le monde l'exaspère, c'est la faute a Voltaire. Et monsieur de Valhubert est si beau. C'est la faute a Rousseau. Que peut le pauvre Frontin devant les incertitudes de Sophie. Deuxième pièce, Dieu que le philosophie serait jolie s'il n'y avait les révolutions et les bizarres journées ou les lingères mélangent les bourgeois et les valets.

Dans ces années couleur de cerne et de lilas, il y avait des fêtes de village, des courses cyclistes, les feux de la St Jean et une retraite aux flambeaux. Il y avait des tracteurs qui remplaçaient les chevaux, le remembrement. Il y avait Bourvil a la radio et dans les fermes des commis. Dans ces années couleur de cerne et de lilas, il v avait la tuberculose et des sanas.