Dans un square, trois jeunes, fan d'Internet et de jeux vidéo, mettent sur pied un plan pour se donner la mort de façon exceptionnelle ; ils se jetterons sous les roues du tram à la station Liberté. Heureusement les jumeaux Raf et Rom sont à l'écoute et mobilisent leurs amis et connaissances afin d'éviter le désastre.
Dans un coin de ville mal éclos, la rencontre entre deux adolescents perdus. Lui a les préoccupations de son âge, anesthésiées par le manque d'avenir, l'inculture et l'alcool et teintées du racisme ambiant. Elle est réfugiée d'Europe de l'Est, elle a fui la barbarie de la guerre et a été contrainte d'y laisser son identité pour ne pas avoir a souffrir du racisme.
Le facteur part à la retraite, le club de couture recrute pour la nouvelle saison, la maison des jeunes inaugure sa salle polyvalente, un petit garçon a perdu son chien, la fête votive s'achève par un peu d'artifices, l'association de modélisme tient son assemblée générale, le photographe du village expose, etc. A partir de ces non-événements, Jean-Michel Baudoin invente de courtes scènes aux dialogues tirés au cordeau, ou s'invitent l'humour, l'ironie, la poésie, voire la cruauté et le surréalisme.
Le facteur part à la retraite, le club de couture recrute pour la nouvelle saison, la maison des jeunes inaugure sa salle polyvalente, un petit garçon a perdu son chien, la fête votive s'achève par un peu d'artifices, l'association de modélisme tient son assemblée générale, le photographe du village expose, etc. A partir de ces non-événements, Jean-Michel Baudoin invente de courtes scènes aux dialogues tirés au cordeau, ou s'invitent l'humour, l'ironie, la poésie, voire la cruauté et le surréalisme.
Le facteur part à la retraite, le club de couture recrute pour la nouvelle saison, la maison des jeunes inaugure sa salle polyvalente, un petit garçon a perdu son chien, la fête votive s'achève par un peu d'artifices, l'association de modélisme tient son assemblée générale, le photographe du village expose, etc. A partir de ces non-événements, Jean-Michel Baudoin invente de courtes scènes aux dialogues tirés au cordeau, ou s'invitent l'humour, l'ironie, la poésie, voire la cruauté et le surréalisme.
Le facteur part à la retraite, le club de couture recrute pour la nouvelle saison, la maison des jeunes inaugure sa salle polyvalente, un petit garçon a perdu son chien, la fête votive s'achève par un peu d'artifices, l'association de modélisme tient son assemblée générale, le photographe du village expose, etc. A partir de ces non-événements, Jean-Michel Baudoin invente de courtes scènes aux dialogues tirés au cordeau, ou s'invitent l'humour, l'ironie, la poésie, voire la cruauté et le surréalisme.
Le facteur part à la retraite, le club de couture recrute pour la nouvelle saison, la maison des jeunes inaugure sa salle polyvalente, un petit garçon a perdu son chien, la fête votive s'achève par un peu d'artifices, l'association de modélisme tient son assemblée générale, le photographe du village expose, etc. A partir de ces non-événements, Jean-Michel Baudoin invente de courtes scènes aux dialogues tirés au cordeau, ou s'invitent l'humour, l'ironie, la poésie, voire la cruauté et le surréalisme.
Le facteur part à la retraite, le club de couture recrute pour la nouvelle saison, la maison des jeunes inaugure sa salle polyvalente, un petit garçon a perdu son chien, la fête votive s'achève par un peu d'artifices, l'association de modélisme tient son assemblée générale, le photographe du village expose, etc. A partir de ces non-événements, Jean-Michel Baudoin invente de courtes scènes aux dialogues tirés au cordeau, ou s'invitent l'humour, l'ironie, la poésie, voire la cruauté et le surréalisme.
Le facteur part à la retraite, le club de couture recrute pour la nouvelle saison, la maison des jeunes inaugure sa salle polyvalente, un petit garçon a perdu son chien, la fête votive s'achève par un peu d'artifices, l'association de modélisme tient son assemblée générale, le photographe du village expose, etc. A partir de ces non-événements, Jean-Michel Baudoin invente de courtes scènes aux dialogues tirés au cordeau, ou s'invitent l'humour, l'ironie, la poésie, voire la cruauté et le surréalisme.
Le facteur part à la retraite, le club de couture recrute pour la nouvelle saison, la maison des jeunes inaugure sa salle polyvalente, un petit garçon a perdu son chien, la fête votive s'achève par un peu d'artifices, l'association de modélisme tient son assemblée générale, le photographe du village expose, etc. A partir de ces non-événements, Jean-Michel Baudoin invente de courtes scènes aux dialogues tirés au cordeau, ou s'invitent l'humour, l'ironie, la poésie, voire la cruauté et le surréalisme.
Le facteur part à la retraite, le club de couture recrute pour la nouvelle saison, la maison des jeunes inaugure sa salle polyvalente, un petit garçon a perdu son chien, la fête votive s'achève par un peu d'artifices, l'association de modélisme tient son assemblée générale, le photographe du village expose, etc. A partir de ces non-événements, Jean-Michel Baudoin invente de courtes scènes aux dialogues tirés au cordeau, ou s'invitent l'humour, l'ironie, la poésie, voire la cruauté et le surréalisme.
Le facteur part à la retraite, le club de couture recrute pour la nouvelle saison, la maison des jeunes inaugure sa salle polyvalente, un petit garçon a perdu son chien, la fête votive s'achève par un peu d'artifices, l'association de modélisme tient son assemblée générale, le photographe du village expose, etc. A partir de ces non-événements, Jean-Michel Baudoin invente de courtes scènes aux dialogues tirés au cordeau, ou s'invitent l'humour, l'ironie, la poésie, voire la cruauté et le surréalisme.
Le facteur part à la retraite, le club de couture recrute pour la nouvelle saison, la maison des jeunes inaugure sa salle polyvalente, un petit garçon a perdu son chien, la fête votive s'achève par un peu d'artifices, l'association de modélisme tient son assemblée générale, le photographe du village expose, etc. A partir de ces non-événements, Jean-Michel Baudoin invente de courtes scènes aux dialogues tirés au cordeau, ou s'invitent l'humour, l'ironie, la poésie, voire la cruauté et le surréalisme.
Le facteur part à la retraite, le club de couture recrute pour la nouvelle saison, la maison des jeunes inaugure sa salle polyvalente, un petit garçon a perdu son chien, la fête votive s'achève par un peu d'artifices, l'association de modélisme tient son assemblée générale, le photographe du village expose, etc. A partir de ces non-événements, Jean-Michel Baudoin invente de courtes scènes aux dialogues tirés au cordeau, ou s'invitent l'humour, l'ironie, la poésie, voire la cruauté et le surréalisme.
Le facteur part à la retraite, le club de couture recrute pour la nouvelle saison, la maison des jeunes inaugure sa salle polyvalente, un petit garçon a perdu son chien, la fête votive s'achève par un peu d'artifices, l'association de modélisme tient son assemblée générale, le photographe du village expose, etc. A partir de ces non-événements, Jean-Michel Baudoin invente de courtes scènes aux dialogues tirés au cordeau, ou s'invitent l'humour, l'ironie, la poésie, voire la cruauté et le surréalisme.
Le facteur part à la retraite, le club de couture recrute pour la nouvelle saison, la maison des jeunes inaugure sa salle polyvalente, un petit garçon a perdu son chien, la fête votive s'achève par un peu d'artifices, l'association de modélisme tient son assemblée générale, le photographe du village expose, etc. A partir de ces non-événements, Jean-Michel Baudoin invente de courtes scènes aux dialogues tirés au cordeau, ou s'invitent l'humour, l'ironie, la poésie, voire la cruauté et le surréalisme.
Le facteur part à la retraite, le club de couture recrute pour la nouvelle saison, la maison des jeunes inaugure sa salle polyvalente, un petit garçon a perdu son chien, la fête votive s'achève par un peu d'artifices, l'association de modélisme tient son assemblée générale, le photographe du village expose, etc. A partir de ces non-événements, Jean-Michel Baudoin invente de courtes scènes aux dialogues tirés au cordeau, ou s'invitent l'humour, l'ironie, la poésie, voire la cruauté et le surréalisme.
Le facteur part à la retraite, le club de couture recrute pour la nouvelle saison, la maison des jeunes inaugure sa salle polyvalente, un petit garçon a perdu son chien, la fête votive s'achève par un peu d'artifices, l'association de modélisme tient son assemblée générale, le photographe du village expose, etc. A partir de ces non-événements, Jean-Michel Baudoin invente de courtes scènes aux dialogues tirés au cordeau, ou s'invitent l'humour, l'ironie, la poésie, voire la cruauté et le surréalisme.
Trois frères abandonnés, livrés à eux-mêmes, affamés,chez eux, dans uen ferme sans présence féminine rassurante.
À l'inverse du Petit Poucet, ils n'ont pas de chemin à retrouver. La mère est absente. Ils l'évoquent, l'invoquent, dans leurs jeux, leurs disputes, les paroles de leurs comptines. Où est-elle partie ? Au cimetière ? Sur le trottoir ? Au parloir ? Dans un cirque au Canada ?
Les garçons mettent la table, ne mangent pas, boivent du café, ne vont pas à l'école, se déguisent, chahutent, se bousculent et jappent comme…
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez nos CGV et l'utilisation de cookies pour vous proposer des contenus et services adaptés à vos centres d'intérêts et vous permettre l'utilisation de boutons de partages sociaux. En savoir plus sur ces paramètres